robert
johnson
|
la bande | dylan
dylan thomas
le noël d'un enfant au pays de galles
illustré par edward ardizzone
|
la bande | dieter
je crois surtout que mes histoires témoignent d'un certain mal de vivre qui refuse la vie telle quelle et qui donne aux petits évènements quotidiens une toute autre dimension
c'est cela qui rejoint le fantastique, l'autre côté du miroir
l'image commune de la vie ne me suffit pas. j'essaye de porter un autre regard sur la réalité. à partir de là , le petit fait insignifiant peut faire basculer dans le fantastique. dès le moment où vous commencez à être éveillé à ce regard, vous parvenez à déceler une foule d'aventures
didier comès
|
la bande | jacky
comme le lait caillé
au fond du gosier
pénètre le chant un peu suré
de la cornemuse
et l'air que tu joues
Ă la fois m'amuse
et m'Ă©merveille
dans un espace frais & révolutionnaire
que je situe entre mes 2 oreilles !
jacques paris
|
la bande | woody
c'est le maître de quelques-uns des miens
j'ai beaucoup appris de woody guthrie
je recommanderais son récit autobiographique "bound for glory", [bien] traduit en français par jacques vassal [en route pour la gloire]
[woody]
|
robert graves
the last post
the bugler sent a call of high romance—
“lights out! lights out!” to the deserted square
on the thin brazen notes he threw a prayer,
“god, if it’s this for me next time in france…
o spare the phantom bugle as i lie
dead in the gas and smoke and roar of guns,
dead in a row with the other broken ones
lying so stiff and still under the sky,
jolly young fusiliers too good to die
fairies and fusiliers, 1918
http://www.robertgraves.org
|
la bande | les chefs
here there and everywhere
to lead a better life i need my love to be here
here making each day of the year
changing my life with a wave of her hand
nobody can deny that there’s something there
there running my hands through her hair
both of us thinking how good it can be
someone in speaking but she doesn’t know he’s there
i want her ev’rywhere and if she’s beside me i know i need never care
but to love her is to meet her ev’rywhere
knowing that my love is to share
each one believing that love never dies
watching her eyes and hoping i’m always there
to be there and ev’rywhere
here there and ev’rywhere
|
la bande | johnny
johnny cunningham + [1957-2003]
c'est pas d'jeu !
|
joseph cornell
[1903 | 1972]
le sculpteur américain joseph cornell, fut un pionnier des assemblages
artiste autodidacte, il commenca à peindre durant la période de la dépression et sa première exposition eut lieu à new york en 1932
considéré comme sculpteur, cornell poursuivit une carrière de peintre et de réalisateur de films
il est reconnu pour ses "boîtes" vitrées, très simples et originales à la fois
|
la bande | nico
magicien !
c’est lui qui, depuis presque vingt ans illumine ma musique de sons improbables avec un sens rare de l’espace que je lui envie
|
|
|